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Contenus institutionnels

Textes créés pour "LE MAG déco"

* Création des accroches titre du magazine,

* Rédaction de l'éditorial,

* Rewriting des descriptifs techniques produits

Extrait d'articles parus dans la newsletter

Le mot de [the words box]

 

- Interview du directeur du dépôt

- Recherche d'un axe dans la veine d'un story-telling

 

Texte film institutionnel pour le groupe Eiffage (Réalisateur Cyril Chauvin)

Lancement programme"Ilot Allar"

 

 

 

 

 

 

Dés 2007, Eiffage, acteur majeur du Bâtiment et Travaux Publics créé un laboratoire de prospective pour imaginer et anticiper  la ville du futur. Ce laboratoire baptisé Phosphore fonctionne comme une pépinière d’idées, conjuguant les talents d’experts : ingénieurs, urbanistes, sociologues, économistes et architectes. Des réflexions sont menées sur l’aménagement urbain intégrant économie, enjeux sociaux et développement durable.

 

La solidarité énergétique est un enjeu de premier plan. La mutualisation des énergies est rendue possible à l’échelle du quartier grâce à une boucle d’eau de mer optimisant l'usage du potentiel du site tout au long de l'année. Il s’agit d’un équilibre thermique entre les surfaces de bureaux et les logements. Ce régulateur mis en place à l’échelle du quartier pourrait à terme être utilisé dans toute la ville.

Rien ne se perd dans l’ilot Allar même au niveau de la surface au sol. Ainsi les parkings réservés au personnel des bureaux le jour sont utilisés par les habitants du quartier la nuit. Ici nous construisons un quartier connecté : wifi gratuit pour tous, une tablette pour chacun qui permettra de contrôler ses consommations d'énergie et de consulter les services offerts par la E conciergerie.

Tout se transforme. Un autre maitre mot d’Eiffage. S'agissant de la dépollution du site, la mise en œuvre par mycorémédiation constitue une avancée très originale de la start-up Polypop.

 

Pour témoin de l’intérêt d’Eiffage pour les espaces verts, des potagers urbains vont être plantés, devenant des lieux d’agriculture citadine tout autant que des espaces de lien social et de partage.

Dans cette ancienne friche industrielle vont vivre désormais 4000 personnes, le défi à relever est d’apporter une réponse appropriée à la vie quotidienne de chacun, et de leur permettre de trouver leur juste place.

 

Le retentissement de ce concept urbain révolutionnaire va mettre en avant un quartier nouveau qui prend un véritable sens : devenir un trait d’union entre le Nord et le centre de la ville.  

 

Face à la mer, les grands projets gagnent le cœur de la ville. Eiffage ose Smartseille, l'écoquartier du futur à vivre au présent. 

Texte voix off film institutionnel

Les chantiers navals de La Ciotat

Réalisateur Cyril Chauvin 

En 2015, 734 nouveaux yachts de luxe ont été commandés ou livrés dans le monde, ce qui représente, mis bout à bout,  plus de 30 km de ponts, de coques, de moteurs, d'incarnation du luxe tout simplement.... La taille moyenne de ces bateaux est de 41m et parmi ceux-ci, 40 projets mesureront plus de 76 mètres. Des chiffres aptes à nous faire tourner la tête.

 

Ces méga yachts de luxe, des merveilles XXL, nécessitent des outils dont le coté spécifiquement technique s'allie à un véritable travail d'artisanat de luxe. Ces palaces flottants doivent  bénéficier de la maitrise des artisans dédiés pour leur redonner le lustre à qui leur est dû. Bois précieux, cuirs rares, cristal raffiné, le tout utilisé avec les technologies les plus modernes : voilà ce qui est proposé aux heureux propriétaires de ces méga yachts.

 

Territoire de chantiers navals depuis le 17ème siècle, la ville a acquis un savoir-faire d'exception et se spécialise désormais dans l'entretien et la réparation des yachts et des super yachts : une reconversion réussie pour la ville qui, seule en Méditerranée, peut accueillir les géants de plus de 76 mètres. Chaque année, la ville rénove une centaine de bateaux de luxe pour devenir aujourd'hui une véritable référence dans la Méditerranée.

 

Le Sud de la France a de tous temps attiré les plaisanciers qui ne se lassent pas des charmes de la riviera. Le littoral provençal, plus particulièrement, recèle des endroits riches de beauté mais aussi des villes pleines d'ingéniosité. La Ciotat fait partie de celles-ci avec sa position géographique exceptionnelle, entre Marseille, la Corse et la côte d'Azur.

 

La Ciotat est en passe de devenir un lieu incontournable de l'industrie nautique de luxe, un univers de haut professionnalisme. Avec son offre sur mesure, indispensable dans ce segment, l'activité représente un concentré de technologies et de services à forte valeur ajoutée qui s'affirme comme une valeur sûre de demain.

 

Une activité en pleine expansion qui déjà attire les investisseurs …  Des opportunités à suivre de très près.

Extrait du dossier de Presse de Elisabeth Montagnier - Photographe.

Exposition de ses oeuvres.

Quelques plages de repos

 

S'il est une chose que personne ne pourra reprocher à Elisabeth Montagnier, c'est de se prendre pour qui elle n'est pas. Quant à savoir qui elle est, sommes-nous vraiment en mesure de le savoir, tant elle s'applique à s'évaporer dans ses univers. Il faudrait cependant être bien naïf ou bien peu perspicace pour croire qu'elle est aussi lisse que ses clichés.

Lisse. Pure. Ou même simple. Simplicité des formes, des couleurs, parfois même des sujets. Dans tout ce que ce mot peut avoir de noble, débarrassé de tous les atours fallacieux de la branchitude, de l'affectation inutile … Simple, pour être seulement juste, vraie. Qu'y a-t-il de plus travaillé, de plus sophistiqué que la simplicité ? L'apparente simplicité. 

Attendre le moment ultime, chercher l'air et la lumière, et soudain être surprise, là, puis conquise enfin, par l'inattendu. La simplicité est taquine, elle n'est jamais là où on l'attend, la réalité farceuse qui révèle l'oublié quand on guette la certitude. La quête du vrai nécessite une infinie patience, celle que nous n'avons plus … encore faudrait-il que l'on voit l'évidence.  Elle doit se cacher au fond des puits, tout comme la vérité.

Elle nous entraîne à travers ses compositions dans le vertigineux reflet de nous-mêmes et de notre monde, un monde plus beau, plus coloré, plus tendre, comme si son œil à elle était pourvu d'une "optique" magique qui gomme le poisseux et le gris de notre quotidien pour lui rendre toute sa poésie.

Reflets, mirages, masques … tout est transposition, tout est illusion, tout est vrai, plus vrai. Plus beau.

Photo Elisabeth Montagnier

Reproduction interdite.

Nous pourrions débattre longtemps de la fonction de l'artiste, tant la réponse à cette question peut être multiple. N'y a-t-il pas eu déjà trop de digression sur le sujet ? La question vaut-elle encore d'être posée, si ce n'est par pur jeu intellectuel ?

Elisabeth Montagnier nous propose tout autre chose. Une certaine immédiateté. Permettre à notre regard de se dissoudre dans un espace d'évasion, une bulle curieusement détachée du temps, déconnectée, salvatrice.

Une respiration.

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Histoire de peaux

Dossier presse Elisabeth Montagnier

Photo Elisabeth Montagnier

Reproduction interdite.

Qui sommes nous ? Dans un monde où l’apparence est devenue primordiale, presque le passeport suprême vers la réussite, comment se définir sans se dévoiler, communiquer sans trahir ?

Nous mettons en place, chacun à notre façon, des subterfuges qui parlent de nous, des masques qui nous cachent autant qu’ils nous révèlent, des costumes qui nous permettent d’entrer dans des rôles, des univers peut-être, là où un quotidien trop formaté et trop raisonnable ne saurait nous entrainer.

Que dire de ces maquillages qui nous transforment en ingénue ou en femme fatale tout autant qu’en esclave tribale ? Que voir dans ces tatouages dont nous nous parons pour raconter sur notre peau des histoires vécues ou rêvées comme un témoignage muet de vies antérieures, de souvenirs indélébiles ? Qu’imaginer de ces vêtements choisis avec un soin infini, costumes idéaux de notre théâtre personnel … Choisir la sensualité et la transgression d’un robe panthère fait-elle de nous une prédatrice sensuelle ? Autant d’interrogations muettes sur lesquelles Elisabeth Montagnier braque son objectif pour de multiples variations étonnamment joyeuses.

Pour ces prises de vues réalisées en studio, rien n’a été laissé au hasard, tout est préparé : le sujet, les accessoires, l’éclairage, l’optique. Le croquis soutient l’élaboration de l’image. La mise en scène est finalisée par l’acte photographique, l’instant gravé sur le papier comme autrefois dans la pierre.

Le choix du cadrage très serré donne de la distance, le visage n’est pas lisible. Le noir et blanc permet de s’éloigner de la réalité pour laisser notre imaginaire vagabonder encore un peu.

Ce ne sont que des histoires de peau et d’état d’âme.

 

 

Texte créé pour Richard Lecoq

Plasticien Designer

 

http://lecoqrichard.wix.com/plasticiendesigner

Sancho Panza

Agrafes

reproduction interdite

Pénétrer dans l’univers d’un artiste, c’est pouvoir ouvrir une porte qui était restée close jusque là.

Avoir accès soudain à un espace inconnu, peut être étrange, peut être attirant, un endroit en tout cas qui ne laisse pas indifférent. Qu’on adore ou qu’on exècre, la fonction de l’artiste est là : susciter des émotions, des débats, des engouements, des interrogations.

 

Pénétrer dans l’univers de Richard Lecoq, c’est ouvrir une porte qui donne sur un couloir, un couloir de plusieurs portes … 3 clés : urbanité, humour et érotisme.  3 clés qui permettent des déclinaisons presque infinies. Des portes qui donnent sur d’autres portes, un labyrinthe déglingué et foncièrement rock.

 

Richard Lecoq a beaucoup observé la ville, il en a absorbé toute l’absurdité, toute la poésie maléfique, il a digéré le ridicule avec patience pour devenir le témoin silencieux mais pas mutique de notre vie.

A travers le prisme de l’humour, un filtre qui adoucit mais qui sait aussi faire grincer les dents, il zoome sur les travers, les manies des hommes. Même ses travaux à connotations érotiques restent infiniment joyeux, comme un clin d’œil facétieux.

Humour aussi dans les objets détournés qu’il emploie pour ses sculptures et ses installations.

Quand l’anodin, l’usuel et le négligeable se mettent en scène et retrouvent, comme une petite victoire, la vedette.

 

3 clés? Plus encore.

D’autres portes restent à ouvrir …

 

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